WNE : petit bilan
14 décembre 2021
Ces trois jours de salon qu’on a craint de voir annulés pour cause de restrictions sanitaires ont été un vrai succès. En plus des délégations officielles, les chiffres du bilan nous donnent 17 000 participants pour 612 exposants (dont 40% d’internationaux) venus de 76 pays.
Les organisateurs prévoient déjà une édition 2023 (du 28 au 30 novembre).
Pour plus d’infos, voir https://www.world-nuclear-exhibition.com/content/dam/sitebuilder/ref/wne/Bilan%20WNE%20FR.pdf.coredownload.390454046.pdf).
Nos différents clients présents sur place ont pu constater notre implication et découvrir tout l’éventail de nos expertises. D’autres contacts ont été pris et déboucheront peut-être un jour sur des collaborations fructueuses.
Quelques ateliers et tables rondes nous ont fait entrer de plain pied dans l’avenir de la filière nucléaire.
Nous avons pu, entre autres :
– aborder ces méthodes qui permettent de mieux anticiper les crises (voir : https://optimease.eu/accueil-optimease/monde-vuca-comprendre-agir-anticiper/)
– profiter des premiers retours sur le développement des petits réacteurs (SMR) dont tout le monde parle en ce moment (voir : https://www.world-nuclear-news.org/Articles/Rosatom-plans-first-land-based-SMR-for-Russian-Far et aussi https://www.framatome.com/medias/framatome-et-rosatom-signent-un-accord-de-cooperation-a-long-terme/ ),
– explorer des projets de sécurisation du stockage des déchets ultimes (voir https://www.edf.fr/en/edf/edf-and-veolia-announce-the-creation-of-waste2glass-a-joint-venture-to-develop-innovative-radioactive-waste-treatment-solutions);
– nous pencher sur l’optimisation des opérations de maintenance, sans effet négatif sur la sécurité,
– voir en action le robot qui intervient déjà sur zones potentiellement dangereuses, pour faire des relevés (voir : http://blog.bostondynamics.com/how-to-gather-better-data-and-reduce-dosage-in-nuclear-facilities).
Un énorme merci à tous ceux qui ont préparé cette manifestation, un autre énorme merci à nos collaborateurs sur place, sachant que certains ont dû se lever bien tôt pour traverser la France et arriver jusqu’à Villepinte.